« C’était une façon de dire la place modeste de l’homme face à la nature – l’écologie commence là, je crois. C’était aussi un hommage à la beauté des paysages. Cela ne signifie pas, pour autant, que la nature ne soit pas brutale, injuste. »
en libre accès en ligne- sous la direction de Jean-Philippe Pierron
JEUDI 18 FÉVRIER 2021 17h30-19h30 PIERRE SCHOENTJES (Université de Gand, Belgique) Littérature contemporaine et écologie : opportunité ou opportunisme ? S’adresser à hildegard.haberl@unicaen.fr pour obténir l’accès.
avec la participation de Pierre Ducrozet, Sandrine Roudaut et Pierre Schoentjes
« Entre 1950 et 1980, Romain Gary, Pierre Gascar, Julien Gracq, Jean-Marie Gustave Le Clézio et Jean-Loup Trassard ont exprimé leur attachement au monde naturel. Ils ont en outre été parmi les premiers à aborder des problèmes environnementaux comme la pollution de l’eau et de l’air, la disparition d’espèces animales et végétales, la destruction des paysages naturels et la menace nucléaire. »