LA SÉLECTION 2020 DU PRIX DU ROMAN D’ÉCOLOGIE (5). Une affaire de tissage. Entretien avec Gisèle Bienne autour de « La Malchimie »
« Le roman, on me l’a dit au sujet de La malchimie, opère différemment d’un essai, il y a cette impression de profondeur qu’éprouve le lecteur : nous creusons autour d’un ou plusieurs personnages des problématiques qui prennent forme concrètement, s’ancrent dans des parcours de vie qui participent de la nôtre, nous travaillons à des mises en situation. À partir d’un cas particulier, quelque chose de plus universel est visé, atteint peut-être. »