by Riccardo Barontini | J 12, PM | News, Words from the writers
Marthe, c’est un livre de décombres. Un tableau qui ressemble à ceux de Soulages. Il n’y a que de la nuit. Mais les personnages, tous, cherchent dans la nuit ce qui n’est pas la nuit. »
by Riccardo Barontini | J 12, PM | News, Words from the writers
« Je ne crois pas que l’homme moderne et citadin soit si ignorant de ce que signifie la vie dans la nature et du cycle des prédations. C’est une critique souvent faite par les chasseurs ou les éleveurs – prétendument les vrais hommes du terroir – que les citadins imagineraient la nature comme un parc Walt Disney, ce qui me paraît bien injuste. »
by Riccardo Barontini | J 12, PM | Conferences
Verona, Ombre Corte 2020. Italian translation by Riccardo Donati and Caterina Ragghianti
by Riccardo Barontini | J 12, AM | News, Words from the writers
An Exchange between Guillaume Poix and Pierre Schoentjes on human rights and environmental justice during The Human Rights Week organized by the UGent Human Rights Research Network, with a text of the writer (“Circonstances aggravantes”).
by Riccardo Barontini | J 12, AM | Poix
“N’écrivant pas pour dire ce que je sais mais pour tenter de mesurer l’ampleur de tout ce qui m’échappe, j’aurais dû lui rétorquer qu’un voyage à Agbogbloshie, redoublant celui de l’écriture, m’aurait confisqué l’acte lui-même ; que, me déplaçant jusqu’au territoire de la fiction, j’en aurais fait un souvenir ; que la mémoire est une invention ; et que comme l’imaginaire, elle est faillible, lacunaire ; que l’authenticité d’une expérience ne présage pas de la vérité d’une écriture – diverses publications, chaque année, peuvent, je le crois, attester cela. Les voilà, donc mes circonstances aggravantes : écrire hors de moi. Et c’est vrai, je l’ai avoué : je tape, je frappe, je suis bel et bien hors de moi.”