by Riccardo Barontini | J 08, AM | News, Words from the writers
“Je dénonce la dégradation architecturale provoquée par le mauvais goût, au nom de l’intérêt matériel, et j’essaie de montrer le passé de ma ville, non d’un point de vue nostalgique et idyllique, mais le passé comme leçon au présent pour édifier la ville future. […] Le combat de la littérature tunisienne en faveur de l’environnement est une lutte pour la survie de la diversité culturelle.”
by Riccardo Barontini | J 06, PM | News, Words from the writers
Au lieu de scier la branche sur laquelle nous vivons tous, il serait plus sensé de descendre de l’arbre au sommet duquel une certaine idée de l’évolution nous a maintenus pour aller palper la circulation de nos racines, à tous, animaux et végétaux. Il y a longtemps que les scientifiques ont abattu cet arbre. Quand on regarde le buisson du vivant, nous nous trouvons au bout de l’une de ses petites branches ; les autres sont occupées par des organismes invisibles à l’œil nu.
by Riccardo Barontini | J 05, PM | Calls for papers
« Au-delà du déchet ». Littérature et sciences sociales en dialogue Colloque international Université de Tours 19-21 novembre 2019 Si la question des déchets a longtemps été marquée par une forme d’invisibilité, elle est néanmoins de plus en plus présente dans le...
by Riccardo Barontini | J 05, PM | News, Words from the writers
“La conoscenza del territorio è la conoscenza delle sue forme di vita, dei suoi fili, dei suoi movimenti, che sola può permetterci di abitarlo rispettandoli, dialogando, adattando la nostra presenza a quel che già c’è, per non correre il rischio di fare il contrario: adattare l’altro a quel che noi siamo, impedendogli di essere altro”.
by Riccardo Barontini | J 04, AM | News, Words from the writers
« Les « poisons » contenus dans les pesticides de Bayer, Syngenta et Monsanto ont donc, pendant plusieurs décennies, agi lentement, sournoisement, sur l’organisme des hommes. Plus rapidement sur celui des insectes et des petits mammifères qui vont disparaître de ces terrains d’action puis de l’environnement. La pollution touche la terre, l’eau, l’air, le vivant. C’est d’une tristesse infinie. »