by Riccardo Barontini | J 03, AM | News, Words from the writers
Textes inédits
Aude Seigne: « La génératrice »
Anne-Sophie Subilia: « Dernières volontés »
Jérôme Meizoz: « Déposition »
Vidéos des lectures et de la table ronde avec les universitaires Pierre Schoentjes et Claire Jaquier
by Ida Olsen | J 03, PM | Calls for papers, News
Contemporary Literature and the Environmental Imagination International Conference Ghent University, Belgium, 7-9 December 2020 Due to the uncertainties caused by the coronavirus pandemic, the organizing committee has decided to postpone the conference by one year. It...
by Hannah Cornelus | J 02, PM | News, Words from the writers
« Le roman, on me l’a dit au sujet de La malchimie, opère différemment d’un essai, il y a cette impression de profondeur qu’éprouve le lecteur : nous creusons autour d’un ou plusieurs personnages des problématiques qui prennent forme concrètement, s’ancrent dans des parcours de vie qui participent de la nôtre, nous travaillons à des mises en situation. À partir d’un cas particulier, quelque chose de plus universel est visé, atteint peut-être. »
by Hannah Cornelus | J 02, AM | News, Words from the writers
« Cette complexité de notre âme, tour à tour belle, tragique ou comique, et l’énergie constructive ou destructrice qui s’en dégage, sont des dimensions dont il faut bien tenir compte dans les enjeux liés à l’état de la nature. C’est elle que le roman a la capacité de présenter dans ses multiples et parfois sournoises dimensions. »
by Hannah Cornelus | J 02, AM | News, Words from the writers
« Je crois assez peu en la différence entre les faits et la fiction. Tout dépend bien entendu de ce que l’on appelle faits, mais la plupart du temps, même s’il faudrait évidemment un peu nuancer les choses, il n’existe pas de faits bruts et dès le premier mot dit, les premières phrases prononcées par quelqu’un pour parler de ces faits, une part de fiction entre en jeu. »
by Hannah Cornelus | J 02, AM | News, Words from the writers
« La fiction rassemble, convoque, révèle la réalité. C’est une forme puissante. Libre. Je pratique plutôt le conte, ou le rêve éveillé, liant mon imaginaire à l’expérience vécue. J’ai besoin de l’expérimentation directe, du corps à corps avec le monde, pour en parler. Mais je ne saurais m’y limiter. Il me faut la dimension imaginaire. Sa liberté. Son espace. »