Humour, Grief, and Species Aloneness in Times of Mass Extinction. An Exchange Between Ida Olsen and Lydia Millet, Author of How the Dead Dream

Humour, Grief, and Species Aloneness in Times of Mass Extinction. An Exchange Between Ida Olsen and Lydia Millet, Author of How the Dead Dream

“[T]o write fiction about dire, massive, looming manmade threats to life on earth isn’t as straightforward as writing about business-as-usual politics or doing satire.[…] There’s a thin, wobbly tightrope you have to walk. Suspended between the neutral, cold descriptiveness some writers preach as necessary to aesthetic rigor and the squishy, on-the-nose earnestness that makes activist fiction mediocre or flat-out bad. You have to find a way to situate your perspective in the habitable zone between austerity and mawkishness”.

Pour une poétique écologique de la ville. Entretien de Ahmed Mahfoudh avec Thabette Ouali autour des “Jalousies de la rue Andalouse”

Pour une poétique écologique de la ville. Entretien de Ahmed Mahfoudh avec Thabette Ouali autour des “Jalousies de la rue Andalouse”

“Je dénonce la dégradation architecturale provoquée par le mauvais goût, au nom de l’intérêt matériel, et j’essaie de montrer le passé de ma ville, non d’un point de vue nostalgique et idyllique, mais le passé comme leçon au présent pour édifier la ville future. […] Le combat de la littérature tunisienne en faveur de l’environnement est une lutte pour la survie de la diversité culturelle.”

Écrire le vivant : l’imagination au défi de la science. Entretien de Christine Van Acker avec Riccardo Barontini autour de “La bête a bon dos”

Écrire le vivant : l’imagination au défi de la science. Entretien de Christine Van Acker avec Riccardo Barontini autour de “La bête a bon dos”

Au lieu de scier la branche sur laquelle nous vivons tous, il serait plus sensé de descendre de l’arbre au sommet duquel une certaine idée de l’évolution nous a maintenus pour aller palper la circulation de nos racines, à tous, animaux et végétaux. Il y a longtemps que les scientifiques ont abattu cet arbre. Quand on regarde le buisson du vivant, nous nous trouvons au bout de l’une de ses petites branches ; les autres sont occupées par des organismes invisibles à l’œil nu.

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