by Riccardo Barontini | J 04, AM | News, Words from the writers
« La révolution esthétique est essentielle, elle fait partie intrinsèque de cette bascule de mondes que nous expérimentons. Elle va accompagner, préfigurer, dédoubler la révolution politique, éthique et écologique que nous vivons déjà. »
by Riccardo Barontini | J 03, PM | News, Words from the writers
En matière de chasse aux trophées, le sujet central du livre, je crois que la prise de conscience est déjà là, que chacun a déjà son avis sur la question, souvent très tranché. Cette conscience écologique, j’aurais tendance à la considérer comme un préalable au livre. Je pense plutôt me situer après.
by Riccardo Barontini | J 02, AM | News, Words from the writers
« Cet an 2000 marque comme une borne, l’entrée progressive dans une nouvelle ère qui devrait être celle de la réconciliation avec notre environnement, c’est souhaitable. Après l’âge du fer, du bronze, de la pierre, il y aura peut-être l’âge du vent, de l’eau, du soleil. Cette entrée dans le troisième millénaire je la ressens comme un carrefour. Peut-être parce que j’y vis. Peut-être pas seulement. »
by Riccardo Barontini | J 02, PM | News, Words from the writers
C’était une façon de dire la place modeste de l’homme face à la nature – l’écologie commence là, je crois. C’était aussi un hommage à la beauté des paysages. Cela ne signifie pas, pour autant, que la nature ne soit pas brutale, injuste.
by Riccardo Barontini | J 02, PM | News, Words from the writers
“La nature occupe une place prépondérante dans mon roman comme dans tous mes écrits, même en poésie. Je trouve intéressant d’analyser le rapport de l’humain à la nature, de la bête à l’humain. J’aime cet effet de miroir que projette la nature sur soi. Devant elle, on ne peut plus se mentir. Il n’y a aucun masque qui tienne.”
by Irene Cecchini | J 02, PM | News, Words from the writers
“Il ragazzo selvatico è un “nuovo selvatico”: come dicevamo è uno che va in montagna per scelta, dopo un percorso culturale. Magari è laureato e ha lasciato un buon lavoro in città. È più vicino a Thoreau che ai montanari di Revelli. Non so dire che cosa ne sarà di quest’omo servadzo o di questa fenna servadza, ma li osservo con molto interesse e faccio il tifo per loro.”