by Riccardo Barontini | J 12, PM | News, Words from the writers
Marthe, c’est un livre de décombres. Un tableau qui ressemble à ceux de Soulages. Il n’y a que de la nuit. Mais les personnages, tous, cherchent dans la nuit ce qui n’est pas la nuit. »
by Riccardo Barontini | J 12, PM | News, Words from the writers
« Je ne crois pas que l’homme moderne et citadin soit si ignorant de ce que signifie la vie dans la nature et du cycle des prédations. C’est une critique souvent faite par les chasseurs ou les éleveurs – prétendument les vrais hommes du terroir – que les citadins imagineraient la nature comme un parc Walt Disney, ce qui me paraît bien injuste. »
by Hannah Cornelus | J 12, PM | News, Words from the writers
Si la littérature ne peut pas agir de façon frontale sur le monde, elle est en constante interaction avec lui, elle est peut-être d’autant plus puissante que sa puissance est imprévisible, comme une formidable bête métamorphe qui non seulement s’adapte mais parfois même a quelques secondes d’avance sur lui.
by Riccardo Barontini | J 12, AM | News, Words from the writers
An Exchange between Guillaume Poix and Pierre Schoentjes on human rights and environmental justice during The Human Rights Week organized by the UGent Human Rights Research Network, with a text of the writer (“Circonstances aggravantes”).
by Riccardo Barontini | J 12, AM | News, Words from the writers
Caroline Lamarche has won the “Prix Quinquennal de la Fédération Wallonie-Bruxelles” for his entire body of work. We congratulate her and we invite you to read (again) her interview for “Literature.green” with Sara Buekens: “Éplucher des dossiers environnementaux, marcher pour le climat, s’installer dans les arbres menacés par un projet d’autoroute, distribuer des flyers en expliquant notre action, interpeller les politiques, ce n’est pas du tout la même chose que l’engagement sur la page, fait, lui, de mots, de silences, de virgules et de points”.
by Hannah Cornelus | J 10, PM | News, Words from the writers
« Si la fiction romanesque doit avoir un rôle, ce serait éventuellement celui de dévoiler plus précisément le monde, de le regarder en face. C’est le seul rôle que je connais au roman : montrer, et parfois, montrer mieux. En ce sens, si un roman montre les beautés et les fragilités des lieux qu’il parcourt, peut-être contribue-t-il à une plus grande lucidité des lecteurs et lectrices qui veulent bien lire ça. »