by Riccardo Barontini | J 06, PM | News, Words from the writers
«On expérimente. Telle solution vaudra là, qui ne marchera pas ailleurs, ou peut-être, on essaiera. Les gens ont une vraie capacité à s’arranger entre eux, à s’auto-organiser. Pas besoin de ‘premier de cordée’ qui entraine tout le monde dans sa chute. Coupons la corde.»
by Riccardo Barontini | J 05, PM | News, Words from the writers
“C’est qu’à mon sens, la littérature doit pouvoir contribuer d’une part à la reconquête de notre mémoire antillaise et de l’autre, à conforter notre fragile identité créole née dans le fracas du génocide des Amérindiens, de l’esclavage des Noirs et de l’engagisme des Asiatiques (Indiens et Chinois) avec un ultime apport syro-libanais à la toute fin du XIXe siècle. Cette identité mosaïque, kaléidoscopique comme disait Edouard Glissant nécessite de sortir des sentiers balisés de la littérature ‘pure'”.
by Riccardo Barontini | J 03, PM | News, Words from the writers
“Credi di camminare il sentiero e invece è il sentiero che ti cammina. Sono quelli che lo hanno seguito prima di te con i piedi e le suole. E i tuoi piedi rispondono alle loro impronte, come la voce risponde ad un’altra voce.”
by Riccardo Barontini | J 03, AM | News, Words from the writers
Textes inédits
Aude Seigne: « La génératrice »
Anne-Sophie Subilia: « Dernières volontés »
Jérôme Meizoz: « Déposition »
Vidéos des lectures et de la table ronde avec les universitaires Pierre Schoentjes et Claire Jaquier
by Hannah Cornelus | J 02, PM | News, Words from the writers
« Le roman, on me l’a dit au sujet de La malchimie, opère différemment d’un essai, il y a cette impression de profondeur qu’éprouve le lecteur : nous creusons autour d’un ou plusieurs personnages des problématiques qui prennent forme concrètement, s’ancrent dans des parcours de vie qui participent de la nôtre, nous travaillons à des mises en situation. À partir d’un cas particulier, quelque chose de plus universel est visé, atteint peut-être. »
by Hannah Cornelus | J 02, AM | News, Words from the writers
« Cette complexité de notre âme, tour à tour belle, tragique ou comique, et l’énergie constructive ou destructrice qui s’en dégage, sont des dimensions dont il faut bien tenir compte dans les enjeux liés à l’état de la nature. C’est elle que le roman a la capacité de présenter dans ses multiples et parfois sournoises dimensions. »