by Riccardo Barontini | J 12, AM | News, Words from the writers
« La figure du saumon dépasse vite son simple rapport à la pêche pour devenir un élément de savoir sur le monde. Il permet de convoquer des éléments historiques, scientifiques, économiques, sociologiques, environnementaux, dans un désir de totalité des angles d’approche d’un même sujet.»
by Riccardo Barontini | J 11, AM | News, Words from the writers
« J’ai été séduit par cette idée d’une acclimatation de légumes de tous les pays dans un petit espace et par celle de l’harmonie intérieure d’une “république potagère” qui fonctionne parce que les règles sont peu nombreuses, mais claires. »
by Ida Olsen | J 11, PM | News, Words from the writers
“[T]o write fiction about dire, massive, looming manmade threats to life on earth isn’t as straightforward as writing about business-as-usual politics or doing satire.[…] There’s a thin, wobbly tightrope you have to walk. Suspended between the neutral, cold descriptiveness some writers preach as necessary to aesthetic rigor and the squishy, on-the-nose earnestness that makes activist fiction mediocre or flat-out bad. You have to find a way to situate your perspective in the habitable zone between austerity and mawkishness”.
by Miruna Craciunescu | J 11, PM | News, Words from the writers
“Les personnages évoluent dans une société sans histoire, sans culture, sans loi, sans commerce, sans codes et sans institutions. Dans ce monde-là, les relations entre les personnages sont au plus près des rapports de force primitif, qui fait écho à celui des bêtes.”
by Riccardo Barontini | J 09, PM | News, Words from the writers
“Il semble urgent d’autres récits et représentations du monde, d’autres interactions en redistribuant les rôles entre les êtres et leur milieu. C’est l’enjeu du vingt et unième siècle, la littérature doit selon moi y prendre part, tout en gardant à l’esprit que ces mêmes interactions peuvent conduire à l’affrontement.”
by Riccardo Barontini | J 08, AM | News, Words from the writers
“Je dénonce la dégradation architecturale provoquée par le mauvais goût, au nom de l’intérêt matériel, et j’essaie de montrer le passé de ma ville, non d’un point de vue nostalgique et idyllique, mais le passé comme leçon au présent pour édifier la ville future. […] Le combat de la littérature tunisienne en faveur de l’environnement est une lutte pour la survie de la diversité culturelle.”